Bien entendu, lorsque l’on voyage en bateau au Canada, on passe la plupart de ses nuits à bord également, même lorsque l’on est à terre… Si ce style de vie peut paraître idyllique pour certains, il faut avouer que le quotidien embarqué sur un voilier au pays – que ce soit sur la côte Pacifique, dans les Maritimes, le Saint-Laurent ou les Grands Lacs – peut aussi avoir ses petits – et ses gros – désavantages. Nous vous racontons ici quelques parties de notre périple dont nous nous serions bien passés…
Une marina canadienne peut être un endroit paradisiaque, dans une eau claire bordée de splendides paysages et équipée en eau et en électricité. Oui, mais pas toujours, et cela, nous l’avons vite compris… Le port, ça peut également être un petit endroit étriqué aux eaux troubles et nauséabondes, où les voyageurs vivent entassés les uns sur les autres…
Il nous est en effet arrivé parfois de ne pas pouvoir fermer l’œil de la nuit à cause du bruit généré par nos « voisins », ou de vivre avec une nausée constante du fait de l’odeur pestilentielle dégagée par l’eau croupie. Avec le temps, nous avons donc appris à nous informer au sujet des marinas au Canada et à les choisir avec plus d’exigence !
Dominique et moi-même sommes amateurs de divertissements, et cela se comprend bien puisque nous passons parfois des semaines en mer. Une fois à quai, nous aimons donc par exemple nous rendre dans un casino terrestre — il y en a dans plusieurs provinces — afin de faire quelques parties de blackjack ou de roulette, de nous amuser sur une machine à sous, de discuter avec les croupiers, le personnel du bar ou les autres joueurs.
Malheureusement, certains ports sont pour le moins sous-équipés. Nous avons alors pensé aux casinos en ligne; sur le coup nous n’étions pas très confiants à l’idée de jouer en ligne. Par chance, nous avons découvert bases-du-casino.com pour nous orienter. Les jeux en ligne, disponibles selon les règles de chaque province, nous ont permis de nous changer les idées. Car souvent, il n’y avait pas de casino, pas de cinéma, pas de bar et parfois même pas de buvette où s’alimenter sur le pouce. Là encore, nous avons retenu la leçon et avons été bien plus sélectifs dans le choix de nos ports au Canada.